Je lis
La sagesse de la Ménopause, Christiane Northrup M.D.
... donc je pense!
À un certain point, une personne ne peut pas se laisser envahir complètement par les émotions, ses émotions car elle ne sera plus en mesure de fonctionner. Elle doit se blinder de ses propres sentiments. Malheureusement, trop de gens se blindent contre les autres et non d'eux-mêmes.
Tout le monde a à se blinder de la souffrance qu'elle soit physique, morale, psychologique ou sociale. Toutefois, cela ne veut pas dire d'être insensible mais plutôt de reconnaître que la souffrance n'est pas toujours ou nécessairement la nôtre. Il faut aussi savoir se blinder contre les manipulateurs: un phénomène de personnes de plus en plus présentes dans notre vie de tous les jours.
Se blinder devrait être pour une protection ponctuelle et non une façon de vivre. Il est vrai que lorsque nous nous montrons vulnérables, nous devons demeurer alertes des prédateurs, mais la vulnérabilité nous permet aussi d'être vrai. D'être soi-même. La vie est tellement plus intéressante quand on peut la vivre pleinement en étant soi-même à tout moment!
Il est aussi vrai que plusieurs personnes associent vulnérabilité à faiblesse, ce ne pourrait être plus faux. Être vulnérable c'est être fragile mais c'est aussi être sensible. La sensibilité c'est l'empathie, c'est d'avoir des sentiments, des sensations, des passions ... Les instincts naturels de l'homme, ses sentiments, ses passions exercent sur toute sa vie une influence contre laquelle sa raison elle-même est trop souvent impuissante.
Mais peut-on se débarrasser complètement de la sensibilité des nos sentiments ?? ou devons-nous nous en blinder? ou encore apprendre à vivre de façon à en prendre avantage pour devenir plus fort(e)?
Vous manquez de vivacité et d'énergie ponctuelle pour vous ouvrir aux autres? Quelques bouchées de ce fameux pouding vous aideront à faire les premiers pas ! Attention, vous ne pourriez vous arrêter ... un sugar rush assuré ! Pour vous dire comment c'est bon, JI me disait qu'il ne dira rien à sa grand-mère car celui-ci bas à plate couture le sien!
Pouding Chômeur
Ingrédients
Sauce
300 ml de sirop d'érable
300 ml de cassonade
300 ml d'eau bouillante
80 ml de beurre
Gâteau
750 ml (920g) de farine
10 ml de poudre à pâte
130 ml de beurre
500 ml de sucre
500 ml de lait
Préparation
Préchauffer le four à 325 F. Tamiser ensemble la farine et la poudre à pâte. Mettre de côté.
Dans un bol, défaire le le beurre en crème. Incorporer graduellement le sucre jusqu'à consistance onctueuse.
Verser le quart du lait et de la farine. Mélanger. Répéter jusqu'à épuisement du lait et de la farine.
Beurrer un moule rectangulaire de 13x9 pouces (32x22 cm). Verser la pâte. Réserver.
Dans une casserole, mélanger tous les ingrédients de la sauce. Porter à ébullition et laisser bouillir quelques instants.
Verser la sauce sur la pâte. Ne pas mélanger. Cuire à 325F pendant 45 minutes.
Source: Pouding Chômeur
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2 commentaires:
Nous avons été fournis et livrés à la maison avec cette recette : quelle belle façon de découvrir la gastronomie québécoise! Et aussi le mode de vie et les valeurs locales : ouverture aux autres, gentillesse, générosité. Nous passons des vacances en familles ici dans votre beau pays et nous nous émerveillons chaque jour.
Un grand merci pour cet accueil et bonnes fêtes de fin d'année !!!
Samuel
PS : nous n'avons toujours pas trouvé de pouding aussi bon que celui-ci.
Merci Samuel! Pour ce qui est de la gastronomie, je ne sais pas si on peut qualifier le Pouding Chômeur de délice gastronomique mais pour sûr ça fait parti de qui on est. Avec des desserts aussi bons et sucrés, ça ne peut que faire des gens ... qui ne se sont jamais habitués à avoir froid, mais se sont adaptés au froid. Alors l'hiver, on mange plus riche! C'est facile, vite fait, bon, pas cher, des produits d'ici et adapté aux grandes familles que nous avions autrefois.
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