Lucien Rouleau a vécu un cauchemar. À 59 ans, atteint depuis 15 ans de la sclérose en plaques, il s'est tiré deux balles dans le thorax avec sa vieille carabine de chasse. Il a attendu avant d'appeler le 911. Il voulait être certain de mourir.
Délivrez-nous de nos souffrances. Michèle Ouimet, 11 septembre 2011
... donc je pense!
Je ne lance pas nécessairement un débat ici mais je voulais partager cet article avec vous.
Lorsqu'il est arrivé à l'hôpital, M. Rouleau n'était pas encore décédé. Les médecins de garde ont voulu l'opérer mais M. Rouleau refusait.
Mais savez-vous que le droit de refuser un traitement ne s'applique pas aux gens qui tentent de se suicider? Il aura fallu qu'un psychiatre intervienne et convainque les médecins de ne pas intervenir. 14 heures plus tard, M. Rouleau mourait dans les bras de sa femme.
Je ne peux concevoir qu'en tant que société nous ne pouvions prendre des mesures réglementées pour éviter ce genre d'actions. Attention, je ne parle pas ici d'éviter le suicide assisté, mais éviter qu'une personne, homme ou femme, ait à prendre des mesures aussi drastiques, brutales et inhumaines afin de mettre fin à ses souffrances.
Le suicide assisté versus l'euthanasie.
Grand débat.
Dans l'euthanasie, une personne provoque la mort d'un malade, alors que dans le suicide assisté, elle ne fait que l'aider à mettre fin à ses jours.
Y a-t-il vraiment une différence majeure? Je pense que oui.
Personnellement, j'ai la clause "ne pas ressuscitée" d'inscrite quelque part ... l'acharnement thérapeutique très peu pour moi. Comme je dis souvent, trop c'est comme pas assez et à trop essayer ... parfois on perd.
Faites juste une réflexion sur le sujet.
Qu'est ce qu'on sert pour un thème comme ça?
Honnêtement, je suis bouche bée ... il n'y a rien qui pourrait être approprié si ce n'est que les p'tites sandwichs pas de croûte ...
Je ne vous donne même pas de recette ...
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