Je lis
Ce qui m'amène à clarifier un autre point. Amsterdam ou Berlin n'ont pas décriminalisé le travail du sexe. Ils ont opté pour la réglementation des pratiques sans tenir compte de la réalité des principales concernées, ce qui n'est pas sans poser des problèmes évidents pour ces dernières. On note par exemple que certaines règlementations qu'on leur impose sont inacceptables pour elles ou ne correspondent pas à ce qu'elles vivent au quotidien.
Il n'y a qu'en Nouvelle-Zélande où les lois régissant le travail du sexe ont été élaborées avec la collaboration des principaux acteurs impliqués. Les principes au coeur de la décriminalisation: 1) la protection des droits humains; 2) la protection contre l'exploitation; 3) la promotion de la santé publique et le sécurisexe; 4) la prohibition de la prostitution juvénile.
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En revanche, en ne criminalisant plus les pratiques des travailleuses du sexe, nous leur donnons le choix de pouvoir porter plainte, d'être défendues légalement en tant que citoyennes et d'être mieux protégées. C'est d'ailleurs le cas en Nouvelle-Zélande où les travailleuses du sexe peuvent, en vertu de la loi, refuser un service sexuel, obliger le port du condom ou encore traduire en justice les propriétaires de bordels qui n'offrent pas des conditions de travail adéquates.
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Les études récentes montrent à cet égard que 90% des travailleuses du sexe interviewées là-bas s'estiment aujourd'hui mieux protégées. N'est-ce pas là l'objectif premier dans ce débat?
Les épouvantails de la décriminalisation de la prostitution,
Patrice Corriveau, 8 octobre 2010, Cyberpresse
... donc je pense!
De vieux édifices retapés qui abritent des centaines d’année d’histoire. Un canal niché dans un tunnel d’arbres. Des restaurants chics d’où émanent des effluves enchanteurs. Un quartier cossu où médecins, avocats et plusieurs familles bourgeoises ont élu domicile depuis belle lurette. Une architecture du 14e siècle, des rues pavées, de longues et étroites fenestrations. C’est ce charme qui fait que dans ce quartier un endroit où l’on veut s’attarder. Lequel ? Rosseburt. Et oui et c’est aussi Le Red-Light district d’Amsterdam. Le Red-Light est au service des besoins et désirs personnels des habitants et visiteurs depuis maintenant plus de 500 ans ! Ça en fait des messieurs qui y sont passés.
Mais une fois la visite terminée, pourquoi retourner dans le Red Light ?
Une question intéressante, non ?
Le sexe ! bien sûr mais sous quelle forme ? La curiosité ? L’inconnu ? Le thrill ? La frustration ?
La curiosité : probablement. Les jeunes non-initiés qui sortent en gang. Les soirs de bal de finissants ? Des jeunes filles (ou garçons) qui font la fête à la veille d’un mariage. Des couples un peu voyeurs qui font une promenade le soir main dans la main … peut être espèrent-ils être inspirés ? Les touristes. Qui sait ? C’est comme Castro à San Francisco, un incontournable.
L’inconnu : je te paie, tu me sers. Ni vu, ni connu. L’inconnu comme dans ce qui n’est pas connu, qui est imprévisible, mais aussi comme dans stranger …l’étranger.
Le thrill : l’excitation de faire quelque chose d’illicite. Bien sûr c’est légal, mais je crois que ça revêt quand même un peu un goût de fruit défendu.
La frustration : alors là j’ai 2 théories !
a) Avant : le mec à la maison … sa femme n’est pas dans le mood et on sait que ça arrive et qui décide de se payer une aventure … une soupape à la frustration de ne pas avoir de sexe à la maison … parce qu’au fond, sa femme il l’aime. Il n’est pas intéressé d’avoir une relation permanente avec une autre femme qui pourrait mettre son couple en péril. Là pas du tout. Tout ce qu’il veut c’est du sexe. Le dit-il à sa femme ou c’est entre lui et lui-même ? Ou il en discute avec sa femme ? Seriez-vous d’accord que votre conjoint vous propose se genre d’arrangement ? Hum, je ne suis pas certaine, mais pour celles qui ne veulent pas se « faire achaler » ça pourrait être une solution.
b) Après : de repartir tout aussi frustré sinon plus. Pourquoi ? J’ai fait une petite recherche de ce que ça en coûte et ce que ça rapporte !!! Wow, moi je dis que le mec devrait commencer à penser à comment mettre sa femme dans le mood ! parce que voici, entre autre, ce qui est offert.
Le « fuck and suck » (personnellement je pense que c’est plus l’inverse, mais … qui suis-je pour leur dire quoi faire ???) commence à $75 (pour 15 à 20 minutes), alors messieurs vous avez intérêt à ne pas avoir un « problème entre les 2 oreilles » à ce moment là et que votre engin soit prêt à performer ! Par contre, comme pour les achats de voitures, vous pouvez «acheter des options » qui ne viennent toutefois pas bon marché. Vous voulez que la dame soit complètement nue ? des coûts supplémentaires. Vous voulez être embrassé sur la bouche ? (comme dans Pretty Women, ce n’est pas habituel) donc coûts supplémentaires et encore là pas sûr ! Un autre 15 minutes ? peut être un autre $75, mais plus … ça devient plus cher. Il n’y a pas de rabais pour les « ventes en gros » et il n’y a pas de carte de « fidélité » (pas de jeu de mots ici !)
On me dit que pour $75 … vous allez retourner à la maison … frustré !
Rien de mieux pour contrer la frustration que le chocolat !
Donc, vous l’aurez bien deviné … je vous offre aujourd’hui une adresse de chocolat à Montréal.
Messieurs, n'est-ce pas assez excitant de penser à votre conjoint trempée dans le chocolat?
Chocolat Grandbois
Quartier DIX30
Place Extasia (de biais avec l'hôtel Alt)
Brossard (Québec) J4Y 0E7
T (450) 462-7807 C
lebar@chocolatsgg.com
Mais Geneviève a beaucoup de points de ventes!
http://www.chocolatsgg.com/contact.html
Super!
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